Je ferais en sorte de vous faire un résumé, ainsi, il sera plus amusant que vous découvriez en RP mon personnages. Que dire qui soit susceptibles de vous intéresser vraiment ? Faisons donc, comme je viens de le dire, un cours résumé de ma situation ::

La vie humaine ;
Il ni à rien dans cette vie là qui ne soit intéressante à dire. Je suis morte avant même d'avoir vécu. Je n'ai rien su qui ne soit caractérisé d'humain. Vivant dans une famille d'aristocrate, étant leur plus jeune enfant, j'aurai pu jouir d'une notoriété public incroyable. Mais non. Je ne sais pour quel faute je fus punie, mais quoi qu'il en soit je donnerai tout pour pouvoir oublier l'état dans lequel je me suis trouvée en ces temps là. Certes, je n'en garde qu'un vague souvenir, quelques détails qui m'ont marqué, bouleversé. Comme le fait d'avoir grandie dans une cave sombre et humide, avec pour seul lien avec le monde extérieur une petite fenêtre donnant sur le salon de mes "parents". C'est bien lamentable comme vie, je vous l'accorde. Je les écoutais, jours et nuits, tentaient d'en apprendre un peu plus sur ses gens là haut, si proches mais si loin de moi en même temps. Que je voyais, mais qui m'ignoraient. Je ne comprenais pas ce qu'ils se disaient, les mots qui passaient jusqu'à ma prison. Je restais assise, contre le mur froid et humide et regardais, le nez en l'air, par la petite fenêtre ou transperçait parfois une douce lumière. Trop blafarde. Trop petite. Parfois, ce que je considérais comme la seule barrière qui m'empêchais d'aller à ce monde plus beau, s'ouvrait un peu. Une assiette de nourriture et de l'eau mettait donné, puis la pénombre revenait. A ce que j'en sais, ou ce que j'ai pu remarqué je fus transformée au alentour de mes 2o ans si ce n'est à peine plus.

La vie vampirique ;
Il me trouva un matin d'automne, et me sortie de ma prison humide. Il fit de moi ce que je suis à présent, et je lui appartiens plus que de raison. Mon être entier chantait pour ce vampire si beau, parfait. Séduisant en toute part, qui ma donner une vie dont je n'aurai jamais imaginer l'existence. Il fut patient. Durant les trois jours où j'agonisais, ne comprenant pas la douleur dont j'étais victime, il resta près de moi. J'entendais dans les limbes, outre la souffrance et l'envie de mort, sa voix chantante qui me rassurait. Je m'y accrochais, combattant avec de pauvres armes dérisoires ma souffrance. Jusqu'à ce que les tambourinements inégale de mon coeur se stoppèrent lorsque je revis.

Je fus particulièrement difficile à maitriser en tant que nouveau née. Et vous comprendrait peut être d'où venait la légende de Jack L'éventreur. Nous vivions en Angleterre, j'avais été transformé à Londres, mais afin de ne pas attirer l'attention sur nous, nous voyagions beaucoup à travers le pays. Durant ma première année en tout cas. J'avais une soif de sang sans équivalent, et lui m'offrait tout ce dont je désirais. Femmes, enfants, hommes, tous passaient entres mes crocs acérés. Mais lorsqu'enfin ma soif de sang s'atténua, en même temps que ma folie meurtrière et ma force, je commençait à découvrire d'autre sensations. Comme le désir, l'envie, la passion, que je ressentaient vivace pour mon créateur. Notre duo, notre couple, était des plus meurtrière, carnassier, de son temps.

Nous commençâmes alors à voyager, un peu partout dans le monde. La France, l'Espagne, l'Allemagne, L'Italie. C'est dans ce dernier pays que nous rencontrâmes les Volturis, considérait comme nos rois. Nous ne sommes que peu de temps resté en leur présence, trop soucieux de retourner à nos occupations. Mais cette rencontre, je ne l'oublierais probablement pas. La soif de pouvoir que je développais s'en trouva fortement attirée, mais mon besoin de liberté m'empêchait de retourner vers eux.

La vie en solitaire;
C'était il y a 7o ans. Nous nous trouvions alors à Moscou, dans un hôtel chic près de la place rouge. Nus, étroitement enlacé, nous repensions à nos années ensembles. Nombreuses, sanglantes. Il m'avait appris à chasser, à traquer une proie sur des jours, ou des semaines. A touer nos semblables si ils se montraient trop collant, ou dangereux. J'avais aussi appris à aimer, plus que de raison, et je lui appartenais entièrement. Sans lui je n'avais plus d'identité, plus de nom. J'oubliais qui j'étais, en somme. Mais il avait besoin que je la sache. il voulait que je sois parfaite, pour lui en tout cas, et cela signifiait que je devais comprendre qui j'étais. Il me quitta ce soir là, se levant du lit, il se rhabilla, et m'embrassa une dernière fois, sans un mot, passa la porte, pour ne jamais revenir. Ou plutôt pour disparaitre pour un temps. Je savais qu'il m'appartenait aussi, qu'il m'aimait. Mais j'avais besoin d'avancer sans lui, pour le moment.

Je devins folle, pour un moment, reprenant une tuerie sensationnelle. Je me mêlais au rang guerrier humain pour profiter de leur sang en toute tranquillité. Mais lorsque la paix humaine fut mise en place, je n'avais d'autre choix que de trouvait un meilleur moyen pour me nourrir. Ce fut à ce moment que je partis pour les USA. Je restais à errer sur ces terres durant des années. Je chassais loin des villes, ne restait que peu souvent au même endroit. J'entendais alors, comme un murmure, un songe dans les arbres, l'histoire d'un amour impossible, l'annonce d'une guerre imminent. Je parti pour Forks alors .

C'est dans un esprit où réside le mépris, que la force d'Innocence de cache. Elle est d'une intelligence rare, ayant appris à ses dépends, qu'il fallait parfois faire preuve de patience afin de savourer un fin plus... intéressante, pour ses ennemis. Elle est d'ailleurs d'une patience quasi légendaire, il lui arrive de traquer sa proie sur des années avant de ce décider à frapper. Et elle ne le fait pas à la légère. Pour elle, le monde est un immense jeu d'échec, dans lequel elle à du mal à trouver sa place. Ainsi, elle se voit comme une intrus, elle se prends pour une sorte d'erreur. Mais elle fait avec, et est décidée à ne pas sa laisser abattre -dans tout les sens du terme. Elle joue alors, comme peu de vampire le font. Elle aime à traquer sa proie partout où celle ci peut aller pour échapper à l'ombre qui la hante. Innocence. La vampire n'hésite pas à rendre fou ses victimes, les éloignant de leur troupeau, comme les pauvres moutons égarés que représentent les hommes une fois seul avec les ténèbres. D'ailleurs, c'est ce qu'elle aime chez eux, ils sont si facile à détruire, et si difficile à comprendre. Elle aime à les faire souffrir, un part de sa personnalité -peut être la plus grande- qu'elle a développer au fil de ses années vampirique. La souffrance, la douleur, le fait qu'elle puisse à jamais les ressentir sans pour autant connaitre la douce étreinte de la mort. Elle souffre à la façon des vampires, de manière démesuré et inlassablement en elle. Elle ne peut se défaire de sa douleur, car sans elle, elle ne serait plus rien. Mieux vaut souffrir que de ne rien ressentir. Et le fait de faire partager sa souffrance, même à des être aussi faibles que des humains, ou aussi spécifique que des vampires, la remplis d'une extase malsaine qui suffit à ce qu'elle qualifie aujourd'hui de "bonheur". Elle est victime d'une solitude affreuse, qui fait qu'elle s'est forgé une sorte de double personnalité, afin de ne pas sombrer complètement dans la folie. Elle est devenue une menteuse et une manipulatrice de talent. Il est dur d'échapper à la fascination qu'elle engendre chez ceux qu'elle décide de posséder. Ils sont comme des papillons de nuit autour de la seul lumière qui traverse l'obscurité. Ils sont à elle, et elle aime à les détruire, doucement, atrocement, douloureusement, jusqu'à ce qu'ils implorent la mort...

Innocence à un physique plus qu'avantageux, même pour une vampire. Elle est évidement, d'une peau blanche, quasi translucide, qu'elle oppose à des cheveux qu'un rouge vif. C'est elle qui a décidé de ce faire teindre les cheveux par une coiffeuse humaine, avant de la dévorer en guise de payement. Depuis, ils semblent ne pas vouloir perdre cette couleur si affriolante, au reflets du sang. Elle se voit de loin, avec sa tignasse rougeoyante. Ses cheveux sont long, et légèrement ondulé. Elle les coiffe toujours avec une certaine véhémence. Elle adore ses cheveux, bien que cela lui semble absurde. Outre cette marque d'extravagance, Innocence à un visage qui peut paraitre angélique. Parfait, sans marque de fatigue ou de lassitude -bien qu'elle soit ressentit- elle met souvent des lentilles qui cache le bordeaux de ses yeux pour le remplacer par un bleu froid et méprisant. Mais aussi terriblement fascinant, bien qu'il ne fasse pas naturelle. Mais contrairement à ce que l'on pourrait croire, elle ne cherche pas à cacher sa situation de vampire, elle veut juste que les regards soient tournés vers elle et sa magnificence. Chose qui n'est pas très difficile. Sont physique avantageux à fait tourné la tête de bien des hommes. Ses courbes délicieuses et affriolantes ne se laissent que rarement cacher par des vêtements trop larges. Innocence ne laisse que peut de place à l'imagination. Sa poitrine généreuse et ses fesses rebondis se laissent facilement deviner. Surtout que cela s'oppose à sa silhouette mince, peut être trop. Mais alors, dans ce corps de déesse, qu'est ce qui attire en premier ? Peut être ses lèvres rougeoyantes... Innocence aime s'habiller de façon recherchée et affriolante. Elle ne passe que peu de temps dans les magasins, mais elle aime tout de même s'y rendre. Ne serait ce que pour trouver un bon repas. Elle a une sorte de radar intégré qui lui indique les vêtements qui lui iront au mieux. En général les mini jupe, robe, ou shorty sont à l'honneur, mais il lui arrive parfois de choisir des vêtements bien plus classes. Comme les hommes. Cravates, pantalons noir, et chemise blanche. De même que les décoltés plongeant ou les bas en dentelles.